ONT RESIDES) A LA POSSONNIERE
Comte René de ROMAIN né le 16/08/1844 à Angers décédé le 26/01/1912 à Fribourg (Allemagne)
Résidant au Château de La Possonniere et à Angers
Chevallier de la légion d'honneur : Cote LH2375/17
Compositeur
René Dominique de ROMAIN né le 09/02/1847 à Angers et décédé le 06/01/1932 à La Possonnière
Résidant à sa retraite au château de La Possonniere
Chevallier de la légion d'honneur : Cote LH2376/24
Enseigne de vaisseau et capitaine de vaisseau.
Louis René de ROMAIN né le 16/08/1844 à Angers décédé le 26/01/1912 à Fribourg (Allemagne)
Résidant au Château de La Possonniere et à Angers
Compositeur et directeur du théatre d'Angers
Adolphe Henri Philippe TABARANT né le 08/10/1863 à La Possonnière (49170)
Décédé le 04/08/1950 à Paris (75017)
Père : Gilbert "employé sur les travaux publics" Mère Marie COROT
Ecrivain, proche des anarchistes, critique d'art, il a écrit de nombreuses études sur les peintres impressionnistes
Voir sur Internet : http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolphe_Tabarant
L'ancien instituteur de La Possonnière M. Lucien RADIGOIS à été goal au SCO d'Angers et champion de France amateur en 1943 (paru dans Ouest France le 02/10/2008)
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Lucien Radigois intervient devant un attaquant de Besançon, lors de la finale de 1943, remportée 2 à 0 par le SCO.
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SCO : Le rescapé de l'équipe de 1943 raconte :
Photo : Collection de M. Radigois Lucien Radigois, 94 ans (né vers 1914), bon pied bon oeil, est le seul footballeur survivant de l'équipe angevine qui fut championne de France amateur en 1943. Décédé le (recherche à faire)
De ces joueurs qui ont écrit l'une des plus grandes pages de l'histoire du SCO d'Angers, il n'en reste donc plus qu'un : Lucien Radigois. Il en était le gardien de but, et c'est avec plaisir qu'il se remémore cette époque. « Je me suis retrouvé dans des buts de foot par hasard, alors que j'étais à l'École normale, se souvient Lucien Radigois, qui raconte les circonstances qui l'ont amené à disputer - et à remporter - la finale du championnat de France amateur en 1943.
Il est apparu que j'étais doué. Nommé comme instituteur à La Possonnière, je jouais à Ancenis. Mais comme il n'y avait plus de train le dimanche, avec les restrictions de l'occupation, j'ai arrêté. »
« Le SCO est venu me chercher, en me promettant de m'emmener en voiture pour aller au match. Deux fois, j'y suis allé en vélo et, la troisième, je n'y suis pas allé. La promesse a été tenue par la suite. »
« Nous étions tous amateurs, jouant pour la gloire et pour le plaisir. Avec mon travail d'instit, je ne pouvais pas me libérer facilement, et je travaillais le samedi toute la journée.
Avec mes collègues Penvern et Perrin, nous rejoignions l'équipe à La Roche-sur-Yon, pour la demi-finale contre Bordeaux, quand notre train a essuyé un mitraillage entre Saint-Georges-sur-Loire et Saint-Germain-des-Prés.
Heureusement, ils n'avaient tiré que sur la locomotive, laquelle a quand eu même du mal à redémarrer. »
« Enfin, cette très courte nuit n'a pas empêché notre qualification en finale. C'était impressionnant de jouer devant 10 000 spectateurs. J'ai eu pas mal de travail, mais je m'en suis bien tiré.
La victoire fut dignement fêtée, et heureusement que mon inspectrice n'est pas passée par La Possonnière... car je ne suis rentré que le lundi midi ! »
Après trois saisons au SCO qui reste son club de coeur, Lucien Radigois a joué à Chalonnes, puis à Champtocé, mais, malgré les sollicitations, il n'est jamais devenu entraîneur.
Pratique. Un hommage est rendu aux joueurs de cette équipe dans le livre racontant l'histoire du SCO. L'ouvrage est en souscription à l'association Écrits et mémoires, au 02 41 47 66 78. Ouest-France